La pandémie a été l’occasion d’une prise de conscience sur l’environnement bâti, alors que de nombreuses personnes cherchaient à échapper aux quatre murs de leur maison pour profiter de l’air frais et participer à une activité physique. Dans ces circonstances, beaucoup ont exprimé leurs inquiétudes concernant le manque d’espaces verts, de voies piétonnes sûres et l’incapacité de conserver la distance nécessaire lorsqu’ils faisaient de l’exercice.
Il n’a jamais été aussi important pour les gens de disposer d’espaces sûrs pour s’adonner à des activités axées sur l’amélioration de leur santé physique. Mais dans de nombreux cas, l’environnement bâti, que l’on parle d’une propriété, d’un quartier ou de la collectivité, ne fournit pas les ressources nécessaires pour le faire.
Afin de mieux comprendre comment l’environnement bâti peut favoriser l’activité physique ou lui nuire, l’équipe Conçu pour l’avenir de WSP Canada a organisé une conversation multipartite, invitant des experts des marchés nationaux et mondiaux à donner leur avis sur le sujet. Les groupes d’intervenants étaient composés de professionnels impliqués dans les soins de santé, le transport actif, la planification municipale et des autorités de transport, ainsi que d’universitaires, de promoteurs d’infrastructures vertes et plus encore. Ils représentaient plusieurs points de vue, qui ont tous un rôle à jouer quand on parle d’intégration de l’activité physique dans l’environnement bâti.
La conversation comprenait un aperçu des stratégies et des conceptions qui favorisent l’activité physique dans l’environnement bâti où nous vivons, nous travaillons et nous divertissons. Plusieurs questions ont surgi dans le cadre de cette discussion, à l’échelle des propriétés, des quartiers et des collectivités : existe-t-il des espaces accessibles pour l’activité physique, qu’il s’agisse d’allées, de zones gazonnées ou d’équipements de loisirs intégrés entretenus et accessibles toute l’année, et sont-ils utilisables par des personnes de tout âge et de toute condition physique, pour n’en nommer que quelques-unes.
Dans toutes les discussions, il a été question de placer l’utilisateur final au centre des préoccupations. Chaque question posée, chaque défi relevé et chaque solution recommandée l’a été en gardant les utilisateurs à l’esprit, des utilisateurs qui sont de tout âge et de toute condition physique.
Grâce à cette conversation et à de futures discussions comme celle-ci, nous pouvons déterminer la meilleure façon de concevoir, de construire et de moderniser des aménagements communautaires qui favorisent des activités physiques accessibles à tous, et de travailler avec les gouvernements à tous les échelons pour garantir que ces considérations sont incluses dans l’achat de futurs actifs bâtis. Nous pouvons également déterminer la meilleure façon d’aborder les politiques, les programmes, les permis d’exploitation sociaux et d’autres manières de promouvoir l’activité physique. Parce que peu importe si nous sommes au beau milieu d’une pandémie ou d’une journée normale de notre vie du Canada, tout le monde doit pouvoir profiter de l’extérieur en toute sécurité et adopter un mode de vie actif.
Pour en apprendre davantage sur les conclusions de notre discussion, veuillez contacter Jamie Summers de l’équipe Conçu pour l’avenir de WSP Canada.
Si vous voulez savoir comment notre équipe peut vous aider à concevoir et à construire un environnement bâti qui favorise l’activité physique, vous pouvez communiquer avec
Dave McLaughlin, expert en intégration des sentiers de transport actif dans votre communauté;
Kevin Cassidy, expert en conception d’établissements de santé qui favorisent l’activité physique sur place;
Jonathan Loschmann, expert en aménagement de l’environnement naturel urbain pour créer des villes plus saines.