Nos ingénieurs et ingénieures conçoivent les stations terrestres, qui relieront les parcs éoliens en mer au réseau électrique néerlandais, en veillant à ce qu’elles soient aussi durables que possible. La conception sera optimisée de façon continue pour réduire l’empreinte carbone de chaque nouvelle station terrestre construite, jusqu’à ce qu’elle atteigne zéro émission nette. Par exemple, l’équipe utilisera des matériaux à faible empreinte carbone comme l’acier vert, le zinc recyclé et les mélanges de béton durable, en plus d’appliquer les principes de conception circulaire.
La zone entourant chaque station terrestre sera aménagée en faveur de la faune locale. Le fait de planter des herbes et des fleurs sauvages ainsi que d’installer des murs-écrans en béton mousse et des dalles de béton recouvertes de sedum contribuera à créer des habitats pour les oiseaux, les chauves-souris et les abeilles.
La conception de la première station terrestre de 2 GW était axée sur la réduction du volume de matériaux nécessaires à sa construction, afin de réduire son empreinte carbone de X %. Le résultat : des économies de matériaux, soit 15 km de pieux de fondation, 2 000 m3 de béton et 1 000 tonnes d’acier en moins.
Notre équipe travaille également avec TenneT et Dura Vermeer, son partenaire de construction, pour cerner et atténuer les impacts potentiels des changements climatiques sur les stations terrestres et leurs emplacements côtiers. Les températures imprévisibles, la hausse des précipitations, les tempêtes plus fréquentes, la hausse du niveau de la mer et l’érosion côtière en sont des exemples.